Vu sur le Figaro qui n'a pas spécialement les glandeurs comme modèles :
Depuis dix ans, un Danois préfère vivre du chômage plutôt que d‘un emploi qui ne lui conviendrait pas. Un «art de vivre» qui pousse la logique de l'Etat providence dans ses retranchements.
Le gus qui se les roule s’appelle Robert et il s’en explique de la manière suivante :
«Être Danois est suffisant pour obtenir de la nourriture, un toit et de quoi se vêtir», argumente-t-il. «Après ça, 95% des gens se diront: j'aimerais vraiment aussi avoir une maison, une voiture, une résidence secondaire, et passer des vacances à Londres et Ibiza. C'est pour ça qu'ils prennent un emploi. Personne ne le fait pour le bien de la société»
On ne sait pas vous, mais cette histoire nous en rappelle une autre bien belle :
Celle de Philippe Noiret qui découvre qu’on est bien mieux allongé à glander qu’à trimer et à suer sang et eau !
- Franchement les Cafards, z’en avez pas marre de vous lever tous les jours pour pondre vos articles ?
Ben cher Alexandre, on ne te cache pas que parfois…on resterait bien au plumard !
Allez, on va quand même trouver un p’tit moment pour vous coller un extrait de ce film qui prône la glandouille comme art de vivre.