Superbe court d'animation en 3D
Un petit clip promotionnel du parti socialiste espagnol qui ne manque ni de saveur ni d'audace !
Oh ouiiiii je jouis de me voir si belle en ce bureau de vote !
Démarrons le week end en douceur mais on n'est pas sûrs qu'il se poursuive ainsi. Deux chansons pour le prix d'une et la première est de toute beauté.
Un titre du Figaro pas piqué des hannetons : Bayrou promet de se tenir le plus loin possible du panier de crabes.
- Heuhhh … dès que la mer monte vous me faites signe hein !
Pas con François, il connaît le film « debout les crabes, la mer monte »
- Euhhhh … j’avais dit pas dans le panier, ça pince !
Ben oui François mais faut pas jouer au con avec les politicards et surtout pas les croire quand ils te font une promesse ! Quel naïf celui-là !
Vous aimez ça avoir les jetons hein ! Et si vous n'aimez pas, alors passez votre chemin ... et courez vite !
Partie 1
Eric Woerth pourrait être renvoyé devant la Cour de justice de la République
On est vraiment peu de chose hein ! Débarqué à la faveur du remaniement, à peine le temps de faire ses cartons et hop, dehors sous les intempéries. Il a l’air un peu paumé le bougre et il nous ferait presque pitié. L’heure de la retraite a-t-elle sonné pour l’ex ministre du travail ?
- Et en plus, ils m’ont refilé un parapluie pourri made in China qui prend la flotte !
Petite chanson agréable à l'heure du laitier
Et comme on n'est pas des chiens mais des cafards, on vous met la traduction de cette chanson impérissable.
No Milk Today (Pas De Lait Aujourd'hui)
[Refrain 1]
Pas de lait aujourd'hui, mon amour est parti (1)
La bouteille (de lait) reste abandonnée, un symbole de l'aube
Pas de lait aujourd'hui, cela semble être un spectacle commun
Mais les gens qui passent n'en connaissent pas la raison
[Refrain 2]
Comment pourraient-ils seulement savoir ce que signifie ce message
La fin de mes espoirs, la fin de tous mes rêves
Comment pourraient-ils savoir qu'un palais était là
Derrière la porte où mon amour régnait en tant que reine
Pas de lait aujourd'hui, ce n'était pas toujours comme ça
La société était allègre, nous changions la nuit en jour
Mais ce qui reste c'est un lieu sombre et vide
Une maison mitoyenne dans une misérable rue au fin fond de la ville
Devient un sanctuaire seulement quand je pense à toi
Simplement un jour sur deux
Pas de lait aujourd'hui, ce n'était pas toujours comme ça
La société était prospère, nous changions la nuit en jour
Alors que la musique jouait nous dansions le plus vite possible
Nous l'avons ressenti ensemble, le début de notre romance
[Refrain 2]
Pas de lait aujourd'hui, mon amour est parti
La bouteille reste abandonnée, un symbole de l'aube
Mais tout ce que ça a laissé c'est une lieu sombre et vide
Une maison mitoyenne dans une misérable rue au fin fond de la ville
Devient un sanctuaire seulement quand je pense à toi
Simplement un jour sur deux
[Refrain 1]
[Refrain 2]
Pas de lait aujourd'hui, ce n'était pas toujours comme ça
La société était allègre, nous changions la nuit en jour
Mais tout ce que ça a laissé c'est un lieu sombre et vide
Une maison mitoyenne dans une misérable rue au fin fond de la ville
Oh tout ce que ça a laissé c'est un lieu sombre et vide
Une maison mitoyenne dans une misérable rue au fin fond de la ville
Oh tout ce que ça a laissé c'est un lieu sombre et vide
Une maison mitoyenne dans une misérable rue au fin fond de la ville
Evidemment, les cafards ne pouvaient pas s'empêcher de tremper leurs pattes dans ce rituel 4ème jeudi du mois de novembre où on pousse le pékin moyen à s'arsouiller avec la bénédiction des ministères de la Culture, de l'Agriculture, de la défense du Patrimoine et de la Santé.
HIP HIP HIPS ! HOURRA !
Un bouquin à vous glacer les sangs justement !
Ca se passe au Guatemala où si vous sortez, vaut mieux sortir couvert ! C'est à dire avec le gilet pare-balles. Oui, on sait, c'est pas pratique mais c'est toujours mieux que de finir dans un tiroir à la morgue. La misère, la violence et la corruption sont présentes en permanence. Les trafics d'enfants ont remplacé l'exportation de la banane et les américains en mal d'adoption peuvent venir y faire leur marché. Saisissant tableau d'une Amérique centrale en perdition, remarquablement écrit, ce roman, vous le dévorerez, avec un chouia de guacamole et un godet de Gallo, la bière locale.
Vive Sophie Hunger et vive la Suisse !
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En liberté mais ... vigilance !
